Puisque Michelle Blanc a réagit à mon billet Je suis déçu de ceux qui attaquent sans considération et qu’elle tire des conclusions qui sont parfois malhonnêtes, voici mon seul billet où je vais argumenter avec elle.
Voici le texte de réponse venant de sont billet : Enflure et désenflure des médias sociaux
Cher Geoffroi,
— Bonjour Michelle,
Comme tu le notes, je n’ai pas mentionné ton nom par respect pour ta personne que j’estime et pour le travail intéressant que tu fais. J’ai d’ailleurs, un certain nombre de fois, fait la promotion de tes contenus, lorsque je les trouvais intéressant. Je souligne aussi, pour la galerie, que les titres de papesse, gourou, diva et autres épithètes qu’on aime bien me donner, ne sont pas de moi mais bien des autres qui m’en affuble. En outre, ce n’est pas parce qu’on a une certaine influence, qu’on doit se taire lorsqu’on a quelque chose à dire, de peur de froisser quelqu’un.
— J’ai utilisé le mot « vedette » et non les autres que tu présentes.
Cependant, il appert que ton titre de “techno-anthropologue du web”, n’existe nulle part et que tu es le seul sur la planète à t’en prévaloir. De là vient l’apparence d’une attaque personnelle.
— C’est un mot que j’ai francisé, il est certain qu’il n’y en a pas beaucoup qui l’ont utilisé. C’est aussi une stratégie de « personal branding » ou d’identité numérique. Je t’invite à lire les autres titres/disciplines qui existent en anglais dans mon billet : Est-ce que la techno-anthropologie est une science ?
Je note aussi, qu’après avoir fait état de ma stupéfaction à voir ce titre sur twitter, tu m’as interpelé en privée, que je t’ai répondu avec des questions et que tu n’as jamais répondu, sauf ici dans ce billet.
— Concernant nos discussions en privée sur Twitter, il y a eu 3 tweets seulement! Le contenu de ceux-ci montre que je n’avais aucun intérêt à poursuivre une discussion en privé avec toi.
— Ta seule question est de me demander de te dire à quelle époque j’ai fais mes études en anthropologie. Le tout est écrit sur mon LinkedIn et sur mon blogue. Tu pouvais trouver l’information par toi-même. D’ailleurs, à ce moment là, j’étais en rédaction de mon premier billet suite à une réflexion de ma part sur comme réagir dans la situation.
Je souligne aussi le début de cette histoire. Une personne m’a téléphoné pour me demander si je voulais participer avec le “professeur d’université” et techno-anthropologue Geoffroi Garon. J’ai fait répéter pour être bien certaine d’avoir entendu. En plus de te prétendre “techno-anthropologue” (avec un billet (Lhassa de Sela) pour justificatif), tu es maintenant aussi prof d’université? Pas chargé de cours mais bien prof?
— Je n’ai jamais prétendu, nulle part, que j’étais chargé de cours, et encore moins professeur. Je sais que la recherchiste à eu mon nom par un professeur d’université comme quoi je pouvais être un bon invité pour son émission. Et c’est là pourquoi je suis déçu Michelle, tu me connais depuis plusieurs années et dans le doute, tu n’avais qu’à me contacter pour éclaircir la situation.
J’ai aussi entendu parler d’un psychanalyste des marques qui lui avait quelques livres de publier pour au moins se donner une certaine légitimité. Son nom est Clothaire Rapaille. Je te croyais assez perspicace pour continuer la discussion avec moi en privée et tirer la chose au clair, réaliser que tu poussait un peu pas mal fort et maximiser tes forces réelles et tes atouts certains. Mais je vois que tu aime plutôt jouer les vierges offensées, continuer “à te prétendre” quelque chose que tu admet toi même ne pas être :
Je n’ai pas le diplôme officiel pour être reconnu comme anthropologue proprement dit, mais j’estime avoir une vision du monde très anthropologique et ça fait partie de mon positionnement comme consultant.
— Concernant cette admission (!), je le disais dans le sens que ça prend une maîtrise pour pouvoir enseigner et être reconnu officiellement par une université comme un anthropologue. Mais, dès le début de mon premier billet, j’ai bien spécifié que c’était un choix stratégique de positionnement mais que c’est aussi une posture intellectuelle bien ancrée en moi. Voir mon billet Je suis un techno-anthropologue. D’ailleurs, à ce sujet, l’Association des anthropologues du Québec semble accepter des membres qui ont un baccalauréat, une maîtrise ou un doctorat en anthropologie, même d’autres profils… (voir la banque de CV)
Je ne suis certainement pas des plus tendre et facile, cependant je ne dupe pas les gens avec de faux-fuyants que je m’adonne à trouver sexy. Bonne continuation
— Je crois que de te définir comme n’étant pas tendre et facile ne te donne le droit de me traiter de « menteur pathologique »…
P.-S. ce commentaire sera sur le blogue de Geoffroi Garon une fois que son site fonctionnera et ou qu’il en fera l’approbation.
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En terminant, je viens de passer plus de 36h à répondre à cet épisode numérique d’attaque à ma crédibilité sans fondement. J’ai bien d’autres choses à faire. Je ne suis pas une personne qui cherche la confrontation perpétuellement. Alors, je poursuis ma route.
Bonne route à toi.
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