Chercheur

Technologies de confiance et société ouverte : blockchain, fab lab et badges numériques

Depuis quelques mois, je m’intéresse à la technologie Blockchain (chaînes de blocs) et ses usages fascinants,  multiples et exploratoires. Tout a commencé avec le processus de devenir un e-resident de l’Estonie en décembre et finalisé en janvier dernier, voir mon billet Je suis un résident numérique de l’Estonie.

Par la suite, j’ai collaboré avec mon directeur de doctorat, Pierre-Léonard Harvey, à la construction de conférences sur la science du Design communautique appliquée au design des systèmes sociaux numériques dans le secteur de la gestion de projet et celui de la santé.

Aussi, nous allons présenter un colloque de 2 jours à l’ACFAS 2016 à l’UQAM intitulé : 646 –  Construire la plateforme numérique du Québec à l’ère des communautés collaboratives et de la egouvernance : où allonsnous à partir de maintenant? Le programme officiel sortira à la fin mars. Dans ce colloque, je vais présenter une conférence avec le titre suivant : Gouvernance numérique, technologie blockchain et décentralisation de la société. Pour moi et plusieurs autres, cette technologie amène de nouveaux usages qui confirment un changement de paradigme au niveau des processus décisionnels, de la structuration des organisations et plus globalement un jalon important de la révolution anthropologique en cours dans nos sociétés.

Finalement, hier j’ai présenté une courte conférence, à titre de chercheur en résidence au Living Lab de Communautique, sur l’élaboration d’un atelier sur les technologies lors du Forum mondial de l’économie sociale en septembre 2016 à Montréal.

Titre de travail : Technologies de confiance et société ouverte

Fab Labs, chaînes de blocs (blockchain), badges numériques et licences de partage : en quoi ces technologies ont-elles la capacité d’augmenter la confiance ? En quoi ouvrent-elles les possibilités en économie sociale. Cet atelier de prospective sur ces technologies ouvertes dites de rupture cherchera à évaluer dans quelle mesure ou dans quelles conditions elles permettent de nouveaux usages et proposera des recommandations pour le GSEF.

Voici ma présentation :

La blockchain est une technologie de rupture majeure selon moi. C’est presque étourdissant comme changement potentiel tellement ça touche au cœur de nos gouvernances sociales et humaines.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *