Chroniques

2012, une année de changement

Début et fin d’une attaque sur ma crédibilité comme techno-anthropologue

Fin de l'épisode numérique Ce court billet en est un pour garder en mémoire le contexte de publication de trois articles. Séquence : Un tweet de Michelle Blanc qui ridiculise quelqu'un qui se donne le titre "techno-anthropologue du Web". Ma réponse : Je suis déçu de ceux qui attaquent sans considération Une allusion que mon CV ne me permet pas de me définir ainsi. Ma réponse : Je suis un techno-anthropologue ! Une attaque direct de Michelle Blanc disant que je suis un menteur pathologique et que c'est une pseudo-science Ma réponse : Est-ce que la techno-anthropologie est une science ?

Est-ce que la techno-anthropologie est une science ?

Dans une perspective pédagogique et disons stratégique, j’aimerais vous présenter ma vision de ce qu’est la techno-anthropologie. Commençons par le terme lui-même. La « techno-anthropologie » est un synonyme de plusieurs terme, soit la cyberanthropologie, la cybersociologie, que j’ai décidé de l’utiliser pour me différencier à la fois comme expert-conseil Internet et comme chercheur avec un centre d’intérêt de recherche différent. Il existe beaucoup d’autres concepts comme Digital Anthropology, Online Ethnography, Netnography ou Digital Ethnography. Bien sûr, il y a des tendances, des divergences dans la terminologie. C'est normal pour une jeune science. La techno anthropologie est un concept d'orientation plus européenne. Mais, le terme « Cyborg Anthropology » est la clé de voute de cette nouvelle sous-discipline de l’anthropologie née en 1993 lors de la rencontre annuel du American Anthropological Association (AAA).

Je suis un techno-anthropologue !

J’ai déclaré que j’étais un anthropologue du Web sur mon blogue www.geoffroigaron.com, mon profil LinkedIn, Twitter et mes cartes d'affaires en janvier 2010. Mon premier billet où j’ai posé « officiellement » un regard anthropologique sur le Web fût celui du 4 janvier 2010, Les médias sociaux et le décès de Lhasa de Sela. Dans ce billet entourant l’annonce du décès de la chanteuse Lhasa de Sela, j’ai posé un regard d’expert Internet et aussi d’anthropologue du Web puisque j’ai utilisé la technique de l’observation-participante et que j’ai interprété des comportements sociaux sur le Web.