Rencontre Visualisation Montréal et Livre blanc Data + Design

Hier avait lieu la première rencontre d’un nouveau groupe sur la visualisation de données à la Maison Notman.

Près de 100 personnes étaient présentes pour faire connaissance.

logo-visualisationmontreal

Visualisation Montréal: Introduction

Introduction: Qu’est-ce que la visualisation de données? Pourquoi un groupe de rencontre? (Francis Gagnon)

Projets de visualisation par des experts montréalais

Entreprises et projets locaux (Trina Chiasson) avec
• Audrée Lapierre de FFunction
• Chris Parmer de Plotly
• Philippe Nieuwbourg du Data Science Institute
• Francis Gagnon de Voilà
• Leo Gourven de Dataveyes

Journalisme de données (Roberto Rocha)
• Thomas de Lorimier from La Presse

Autres initiatives (Ginette Law)
• David Chouinard de Harvard
• Trina Chiasson et Ginette Law et le Data + Design e-Book
• Ramnath Vaidya de Rcharts.io

En prime, le lancement d’un livre blanc (white paper) / toolkit sur la visualisation des données coécrit par près de 50 collaborateurs.

DATA + DESIGN a simple introduction to preparing and visualizing information

Data-Design-White-Paper

Les prochaines rencontres seront très certainement intéressantes. Rendez-vous le 22 septembre prochain.

Ajout 20/08/2014

Voici le résumé très complet de cette première rencontre Visualisation Montréal de Francis Gagnon de Voilà.

CAPS 2014 – P2PValue et Socientize

Lors de la première journée du CAPS 2014 – Conférence sur les plates-formes d’innovation sociale, j’ai découvert deux projets :

P2PValue

P2Pvalue (@P2Pvalue) est une plate-formet une plate-forme technico-sociale pour les modèles durables et la création de valeur de la production par les pairs.

P2PValue is a Techno-social platform for sustainable models and value generation in commons-based peer production in the Future Internet.

Un de leur projet phare est ce répertoire ouvert contenant plus de 300 plateformes et systèmes.

Directory-P2Pvalue-logo

Commons-Based Peer Production directory

Voici une définition : « Commons based peer production is an emerging and innovative production model in which the creative energy of large numbers of citizens is coordinated, usually through a digital platform, outside of the parameters of the traditionally hierarchical and mercantil organisation resulting in the public provision of commons resources. »

 

Socientize

Socientize-logo

Socientize is a citizen’s science project funded by the European Union under 7FP, with partners in Austria, Brasil, Portugal and Spain. Ils ont produit un livre vert sur la science citoyenne,  Green Paper – Citizen Science for Europe – Towards a better society of empowered citizens and enhanced research. 

Green-paper-on-Citizen-science

This Green Paper aims to foster the interaction between the Citizen Science stakeholders and the EU policy officers, reinforcing the culture of consultation and dialogue in the EU. This report is the result of the coordination, support and networking activities carried out during the first year of execution of the Socientize project. This document serves as a facilitator of further debate, disucssions and feedback, community endorsement, mututal learning and exchange of good practices within the stakeholders.

Aussi une liste de plusieurs expériences de recherche avec de la participation citoyenne.

AJOUT 28/09/2014

Voici le lien vers le livre vert, puisque le livre blanc a été publié :

Livre blanc : Science participative et mobilisation des citoyens (Citizen Science)

Compte-rendu Wikicité 2014 : participation citoyenne à l’ère numérique

Jeudi et vendredi dernier avait lieu l’événement Wikicité : participation citoyenne à l’ère numérique organisé par l’Office de consultation publique de Montréal au Centre des sciences de Montréal.

Conférence d’ouverture wikicité

Étant arrivé juste à temps pour le panel de 20h, voici ce qui m’a marqué et inspiré concernant la conférence d’ouverture :

La présentation de Jean-Noé Landry, cofondateur de Montréal Ouvert et Québec Ouvert, sur le parcours de Montréal Ouvert, de sa mission à ses impacts a démontré qu’il est important de faire un effort, souvent considérable, afin de faire saisir de nouvelle notion, de nouveau cadre de référence et de nouvelles opportunités qui en découlent. On peut affirmer, qu’après plus de 40 conférences et événements, le langage et le vocabulaire des données ouvertes semblent avoir « infiltré » la production de contenu, les plans d’action et les  rapports d’une multitude d’organismes, autant les villes, les PME et les organismes à but non lucratif, étant touchées par cette « révolution ». Le lexique, voilà certainement une tactique d’innovation à valider et re-valider.

Par la suite, Pierrot Péladeau (@pierropeladeau), chercheur et conseiller en évaluation sociale de systèmes d’information interpersonnels qui est impliqué depuis 7 ans à titre de chercheur  invité à Communautique et aussi chercheur associé au CEFRIO, est arrivé avec une conférence avec un angle plus critique de la participation citoyenne face aux promesses des plates-formes technologiques. Soutenu par son expérience dans divers projet d’envergure au Québéc, tel les plates-formes numériques en santé (dossier patient électronique), il est venu dire de faire attention de ne pas sombrer dans le piège du déterminisme technologique et de ceux qui créer les systèmes permettant la « démocratie numérique ». Les erreurs du passé, souvent au niveau de la gouvernance des TI dans les organisations publiques, a contribué à dilapider des fonds publiques et à ralentir le développement des usages numériques au Québec. Le volet politique est potentiellement différent aujourd’hui, mais il faut rester vigilant. Le design et le code font loi. Mais il est possible de faire du mieux.

Un autre groupe d’acteurs importants : les enfants. Ce sont nos enfants qui auront à vivre avec grands nombres décisions structurantes prises aujourd’hui. Or s’il était difficile d’intégrer les enfants dans les modes et rituels de délibérations traditionnelles, ce n’est pas le cas des modes numériques qu’ils pourraient aisément s’approprier.

Vous pouvez lire et écouter l’ensemble de son intervention dans son article Passer votre participation citoyenne à la machine.

Finalement, Pierre Baril, président du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) est venu confirmer que le Québec à une culture de la consultation publique assez forte. Qu’il est primordiale de garder cette force. Il précise que l’organisation regarde les nouvelles avenues de consultation publique avec le numérique. Oui pour l’augmentation de la participation via ces nouveaux modes de participation en ligne, mais ils doivent garantir la validité de l’information et l’identité des personnes qui les présentent.

Par la suite, des questions sont venus de la salle. La plus intéressante a été celle sur la qualité de l’information disponible à notre ère numérique, notamment accessible et diffusée via Internet. Comment s’assurer de la qualité d’une information provenant d’Internet ?

Jean-Noé Landry : Il faut augmenter le nombre de donnée ouvertes brutes, i.e. sans altération préalable, afin que plusieurs puissent y accéder et les interpréter selon leur objectif.

Pierrot Péladeau : Il faut créer des espaces de médiation, des communautés qui filtrent, aménagent, synthétisent, diffusent, enrichissent l’information, produisent des savoirs. Il faut ainsi créer de nouveaux métiers, de la curation augmentée.

 Les exposants innovants Wikicité

Parmi les 13 exposants présents lors de l’événement, j’ai pris le temps de discuter plus amplement avec 4 d’entres eux.

échofab

échofab est le premier laboratoire de fabrication numérique du Québec. Ce projet de l’organisme Communautique a pour objectif de permettre l’émergence de Fab Lab de quartien afin d’encourager l’innovation et la création dans les communautés locales en ouvrant aux individus l’accès à des équipements polyvalents, des matériaux variés et des réseaux d’échange de connaissances. Il y avait derrière le kiosque une affiche avec une infographie qui résumait très bien le rôle des Fabs Labs dans la nouvelle société du design. (je vais l’ajouter dès quelle sera disponible.)

Le Fab Lab est un atelier de fabrication numérique mis à disposition de la communauté pour façonner son milieu de vie.

Pour en savoir plus : Qu’est-ce qu’un Fab Lab ? Ou suivez Fab Lab Québec, une communauté motivée par l’émergence de l’interstructure Fab Labs au Québec.

Imagination for people

Imagination for people est une organisation qui gère un portail de mise en valeur de projet en innovation sociale à travers le monde. 

Une plateforme collaborative multilingue en mode open source dédiée à l’innovation sociale et à la créativité citoyenne qui vise à faciliter le repérage et le développement des projets d’économie sociale et solidaire les plus innovants à l’échelle internationale.

Il y a aussi deux autres projets en place, soit My Social Business Model, un service Web permettant d’accompagner les entrepreneurs sociaux avec un canevas de modèle d’affaire. Et Assembl, un service Web, de type logiciel, qui permet de faire collaborer une multitude de personnes dans un contexte de conversation ou de délibération pour des entreprises, des organisations publiques, des événements d’envergures.

Espace temps

Espaces temps est un organisme à but non lucratif fondé en 2009 afin de contribuer à la circulation territoriale de l’information et des connaissances, de manière transversale auprès des milieux des arts, de la vie citoyenne et de la vie scientifique. Espaces temps contribue ainsi à créer du lien social, outiller les citoyens et les organisations, et dynamiser le territoire.

Nous développons des espaces, outils et pratiques qui favorisent la circulation de l’information et des connaissances.

L’équipe offre des services de création et d’animation de Calendrier d’événements d’organisation, tel que Mur mitoyenÉvénements UQAM, Espace pour la vie, etc. Le petit dernier sera le Calendrier de la science (@calscienceqc), qui sera le premier répertoire collaboratif d’activités de culture scientifique au Québec ! Lancement prévu en mars 2014.

Clair 2014 : une école pour demain, aujourd’hui de Nancy Brousseau

Nancy Brousseau, directrice générale de la Fédération des établissements d’enseignement privés, était à la 5e édition de Clair 2014: voir l’éducation autrement à l’Université de Moncton.

Sa conférence intitulée Une école pour demain, aujourd’hui. Rupture ou continuité ? Dynamiser ou dynamiter ? était d’une grande qualité. Le contenu était inspirant et réaliste. La présentation était limpide et bien sentie. Bravo. Mention spéciale pour la musique de début de conférence afin de faire bouger les gens avec Avicii – Wake Me Up.

*Webdiffusion :  Écouter ou réécouter la conférence de Nancy Brousseau ici

 Voici son document de présentation :

Vous pouvez la suivre via son compte Twitter : @NancyBrousseau

 

Voici quelques éléments de sa présentation :

1. Constats

Elle nous a présenté deux constats qui m’ont grandement troublé :

Le taux de diplomation au secondaire en 5 ans (parcours standard)

Cohorte 2007-2012 = 70% chez les filles et 56% chez les garçons.

Taux-diplomation-secondaire-au-Quebec-2007-2012

Ensuite, les résultats d’une enquête réalisée par la FEEP, Portrait des réalités vécues par les élèves du secondaire. Enquête menée en 2009-2010 auprès de 44 000 jeunes de 12 à 18 ans.

Enquete-FEEP-Motivation-etudiant-secondaire-2001-2010

2. Enjeux

Au niveau des compétences du 21e sciècle, il y a 2 enjeux qui ressortent de plusieurs sources (The Global Achievement Gap de Tony Wagner et Capitalizing on Complexity de IBM)

  • Adaptation à des changements rapides
  • Développement d’une culture de l’innovation

 

3. École du 21e sciècle

Elle nous présente un ensemble d’éléments qui pourraient/devraient définir le futur de nos écoles :

  • Modèle pédagogique (faire apprendre, l’élève, la collaboration, l’interaction, connectivité, apprentissage par problème, personnalisé)
  • Curriculum (Souple, diversifié, compétences du 21e sciècle, mise à jour, personalisé)
  • Évaluation (Aide à l’apprentissage, Place à l’erreur, Mesurer ce qui importe, variété, moins de place, personnalisé)
  • Espace (Modulaire, adaptable, souple, optimisé pour la technologie, l’extérieur de la classe, le numérique)
  • Temps (Éclaté, ouvert, souple, personnalisé (horaire, calendrier, rythme))
  • Technologie (Élève en contrôle, Bring you own device (BYOD), Infrastructures performantes, responsables TI dans le coup, Formation et support des enseignants)

4. Exemples d’écoles innovantes dans le monde (K-12)

  • Essa Academy (900 élèves, 11-16 ans, Royaumes-Unis)
    Pas de livre, mais des tablettes
    Apprentissage et curriculum personnalisé
  • High Tech High ( 3 500 élève, 5-18 ans, États-Unis)
    Apprentissage par projets (Problem-based Learning)
    Multidisciplinaire
    École de formation continue pour les enseignants
  • Kunskapsskolan (10 000 élèves, 12-19 ans, Suède et Royaumes-Unis)
    Apprentissage personnalisé
    En ligne : à la maison ou dans les espaces d’apprentissages
    Élève en charge de son plan d’apprentissage
    Maths et langues sont plus formels, le reste est multidisciplinaire et thématique
  • Steve Jobs School (11 écoles, Pays-Bas)
    Pas de tableau, pas d’horaire, pas de livres
    Tablette numérique
    Par des modules aux choix sauf arithmétique, lecture et compréhension de texte
    Parents et élèves déterminent le programme, la planification et les vacances scolaires
    L’enseignant intervient lorsque l’élève est en difficulté
  • Quest to Learn (États-Unis)
    Projet de gamidication
    Créativité et résolution de problème à travers 10 missions
    Progression calquée sur le jeu vidéo
    Mission finale : collaborative de toute l’école
  • et plusieurs autres dans sa présentation

*Points commun de ces écoles :  Elles étaient en grandes difficultés, ont des clientèles difficiles et ont une certaine indépendance (écoles publiques pour la plupart).

5. Obstacles et leviers

 4 familles d’obstacles

  • Développement professionnel des enseignants
  • Leadership pédagogique
  • Structure
  • Société

Les leviers

  • Développement professionnel des enseignants
  • Leadership pédagogique transformatif et éclairé
  • Prise de conscience des enjeux locaux, nationaux, et internationaux par TOUS les acteurs
  • Briser l’isolement, se réseauter, partager
  • Diminuer la standardisation
  • Autonomie et imputabilité à chaque palier
  • Impliquer les familles et les communautés
  • Impliquer les élèves

Après ça, j’ai juste le goût d’agir, dès maintenant !

Un Québec numérique c’est… une politique, un responsable et un plan d’action

Depuis quelques semaines, je constate une autre vague d’initiatives et de propositions d’actions concernant l’importance de mettre le gouvernement du Québec à l’ère des technologies et des usages numériques. La dernière en liste est la création en septembre 2012 d’un Groupe de travail bénévole pour un Plan numérique pour le Québec initié par Jean-François Gauthier et Claude Malaison. Le billet de Mario Asselin, un des membres du groupe, présente bien les moments forts de cet effort qui se remobilise sous diverses formes depuis 2007.

Aujourd’hui, plus que jamais, je pense que la vaste majorité des acteurs concernés sont prêts à se mettre en mode action, il ne manque que la volonté politique de prendre le train. Le contexte mondial (crises économiques, turbulences financières et énergétiques, chute de l’occident, etc. ) conjuguer aux considérations locales (démographie, finance, productivité, emploi, intégration des immigrants, etc.) sonnent le glas au statu quo et à la non-action.

Pour y arriver et être pratico-pratique, voici trois choses à faire, soit : élaborer une politique numérique, désigner un responsable du numérique au Québec et co-créer un plan d’action numérique.

 1- Élaborer une politique numérique

Je crois que le débat n’est plus sur la nécessité de créer ou non une politique. Nous avons un retard certain sur une multitude d’autres pays et de villes du monde qui sont déjà dans le train (des TGV) de l’économie et de la société numérique. Nous avons aussi un retard sur nos propres citoyens qui sont déjà actifs au niveau des usages numériques. Nous sommes une société grandement connectée mais avec des organisations (public, privé, communautaire, etc.) grandement en retard. Je pense que ce serait assez simple pour nous de partir des meilleurs exemples et d’en faire une version aux couleurs du Québec pour qu’elle soit près de nos visions, de nos spécificités, de nos intérêts, et de nos forces et faiblesses.

Voici une liste d’élément à considérer comme point de départ :

Bien entendu, nous aurons avantage à être aligné sur les grandes visées internationales au niveau du développement et des transformations numériques. Partant du Sommet mondial sur la société de l’information (2003-2005) jusqu’au WCIT 2012 qui aura lieu à Montréal du 22 au 24 octobre prochain avec un Plan d’action pour une société numérique mondiale, il nous faut être en cohérence avec nous-mêmes et les autres.

Une fois la politique élaborée, il faudra bien entendu définir un premier plan d’action et apporter des investissements significatifs pour être en mesure d’atteindre les objectifs.

2- Désigner un responsable du numérique

Afin de bien orienter les actions en lien avec une politique numérique, il faut qu’une personne soit en charge. Certains proposent un Ministre du numérique (À quand un ministre du numérique? de Nathalie Collard) et d’autres, comme Michel Dumais, sont plus orientés vers un Dirigeant principal de l’information (DPI). Le politique avant l’administratif, l’administratif avant le politique. Je crois à une forme d’amalgame des deux. Mais à mon avis, un ministre devient souhaitable et inévitable lorsque les acteurs du territoire, des villes, des régions, des organisations ancrées dans leur milieu, etc., ont déjà mis en branlent et réalisé une multitude de projets et d’initiatives autour du numérique comme c’est le cas en France. De là, la pertinence d’une Fleur Pellerin, Ministre déléguée PME, innovation, et économie numérique en France.

Mais ce débat est de deuxième importance puisque le plus important est de mettre les investissements au service de cette politique numérique du Québec. Une fois la structuration de la gouvernance et la sélection d’une personne dédiée à ce rôle de responsable, il est temps de créer le premier plan d’action.

3- Co-créer un plan d’action numérique 2013-2016

Il est important que le développement du premier plan d’action soit en mode concertation ouverte pour s’assurer de la mobilisation de l’ensemble des acteurs. Des initiatives et des transformations numériques, il y en a beaucoup au Québec et cela dans tous les secteurs de l’économie et de la vie citoyenne. Tous les secteurs sont concernés et touchés, les divers acteurs de ceux-ci doivent s’adapter qu’ils le veulent ou non. Ces initiatives sont souvent peu connues, mal soutenues et non-concertées. C’est pourquoi, il serait important et stratégique pour le Québec que le plan d’action numérique soit élaboré dans un mode d’innovation ouverte. Il faut intégrer dans le processus l’ensemble des parties prenantes de divers horizons qui ont déjà des projets, une expérience acquise, des antennes dans leur milieu. Il existe plusieurs stratégies (Ville intelligente, territoire numérique), méthodologies (Design participatif, Living Lab, Service Design) et outils de créativité et de participation ouverte (World Café, etc.).

En conclusion, selon moi, nos élus doivent pondre une politique numérique pour le Québec, ils doivent structurer une gouvernance et désigner une personne en charge du dossier et permettre la co-création d’un plan d’action numérique pour les prochaines années. Selon moi, le mot-clé, c’est la mobilisation. La mobilisation de l’ensemble des acteurs se fait par une volonté forte et démontrer d’aller de l’avant avec un Québec visionnaire et numérique.

Numériquement vôtre !