Nestlé, Greenpeace, Facebook et relations publiques dans les médias sociaux

Sébastien Provencher publie sur le blogue de Praized Media suite à sa participation à Intracom 2010 ce billet Nestlé: Why a Facebook Fan Page Was Not a Good Idea. C'est un cas de plus en plus classique d'entreprise qui se lance sur les médias sociaux sans établir au préalable des stratégies et surtout des scénarios d'interactions.

Dans le billet Greenpeace et Nestlé sur Facebook : l’Art de la Guerre sur ReadWriteWeb France, vous aurez une explication très complète de ce cas de dérapage et de mauvaise préparation. Si vous êtes une multinationale et que plusieurs groupes de pression sont à vos trousses, vous vous devez de vous positionner efficacement.

J'avais présenté le cas, à plus petite échelle, des erreurs de l'entreprise Audiogram dans son usage des médias sociaux et particulièrement Twitter lors du décès de Lhasa de Sela en janvier 2010. Voici le billet : Les médias sociaux et le décès de Lhasa de Sela.

TLMSF, réflexion sur les critiques envers le Web 2.0 et le phénomène de dindification

Dans la 11e émission de Tout le monde s'en fout, la grande question de la semaine était : De quoi faut-il revenir dans les médias sociaux ? Comment bien critiquer le web 2.0 ? Avec Pierre Fraser (linguiste et blogueur), Mario Asselin (associé chez Opossum et blogueur).

TLMSF – épisode 11 from iXmédia on Vimeo.

Une bonne réflexion/critique de Catherine-Êve Gadoury, et un échange avec Mario et Pierre de qualité.

Finalement, Pierre Fraser, techno-humanisme, termine l'émission avec le concept de dindification ! Très intéressant.

Pour en voir un exemple, voici son billet Facebook : un parfait exemple de dindification.

Le prospectiviste s'active !

Nouveau ROI pour analyser le marketing numérique dans les médias sociaux (social marketing)

Voici un rapport fascinant de Web Analytics Demystified qui devrait apporter de l'eau au moulin pour convaincre de la pertinence de d'implanter des stratégies de marketing dans les médias sociaux. Le retour sur investissement est assurément le frein majeur à l'utilisation du marketing numérique. Vivement des nouveaux modèles comme ceux-ci.

e-book : Humoristes québécois et médias sociaux

Déjà bientôt 15 jours que j'ai publié le premier e-book de Pygmalion numérique sur la thématique des humoristes québécois et de leur usage des médias sociaux. Il est maintenant aussi disponible sur le service de partage Scribd. (J'ai voulu faire un "embed", mais le document semble long à faire apparaitre… Alors, j'ai seulement fait un lien vers le document en ligne.)

humoristes médias sociaux

e-book : Humoristes québécois et médias sociaux – janvier 2010

Je collabore à la réalisation de 2 autres e-book qui seront publiés dans les prochaines semaines par mon entreprise. À suivre.

e-book : Influence et réputation sur l’Internet, à l’usage des managers désemparés.

e-book influence reputation Adverbe

Sortie du ebook "Influence et réputation sur l'Internet" co-écrit par Xavier de Mazenod de l'Agence Adverbe et François-Bernard Huyghe. Extrait de l'introduction :

En 2009, le réseau social Facebook a dépassé les 350 millions de membres dans le monde, population qui devrait doubler en 2010. Le site de partage de vidéos YouTube compte fin 2009 plus de 100 millions de membres aux Etats-Unis et la toute jeune plateforme Twitter a dépassé en 2009 le million d'utilisateurs en France.

Ce succès du Web social dépasse la sphère privée et touche aussi le monde économique. L'année 2010 devrait ainsi voir l'explosion des réseaux sociaux en entreprise. C'est dans ce Web social que se fabrique aujourd'hui l'influence de l'opinion, spontanément ou de manière organisée. Une opinion atomisée qu'il est illusoire de vouloir influencer avec les vieilles méthodes de la communication et du marketing.

Ce nouveau Web, baptisé schématiquement Web 2.0, est aussi un vecteur de la réputation des entreprises, ou e-réputation. Elles y sont confrontées aux opinions, aux rumeurs, aux doléances de leurs clients et, d'une manière plus large, aux conversations de tout leur environnement, de toutes leurs « parties prenantes ». Les usages, les comportements, les codes des nouveaux internautes ont changé. Ils maîtrisent parfaitement les fonctionnalités et la puissance de ce Web, les entreprises beaucoup moins. Pourtant, aucune entreprise ne peut négliger de comprendre et de se plonger dans ce Web social, d'être présente dans ces nouvelles agoras. Cela reviendrait à exposer leur réputation sans pouvoir répondre efficacement.

Or, la réputation est une partie de la valeur de l'entreprise. Dans la vraie vie mais sur l'Internet aussi.

Ce très bon document permet de revenir à la source et aux fondements de la notion d'influence et de réputation qui se transposent dans l'univers du numérique et de l'internet. L'entreprise et les individus doivent s'adapter à ces nouvelles règles de l'économie de l'attention.